De gauche à droite: Christian Gamby, Thierry Jansen et Stéphane Allix.
Une après midi que je n'oublirai pas.


CHRISTIAN GAMBY
Praticien diplômé en Science de Guérison Barbara Brennan USA
Dès notre incarnation
nous ressentons l'énergie des êtres qui nous entoure et après quelques mois
d'existence, nous
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Inconsciemment nous adoptons alors les mêmes mécanismes de défense que nous avions élaborés, dont les comportements ne peuvent-être qu’inappropriés pour l'adulte que nous sommes devenu.
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Nous créons systématiquement
ce que nous redoutons le plus.
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Nos réactions sont disproportionnées et immatures, sources de tensions intérieures et relationnelles. Leurs conséquences évidement négatives ont pour effet pervers de renforcer nos craintes, nos fausses certitudes et nous faire croire que nos actes sont parfaitement justifiés.
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C’est un cercle vicieux qui nous maintient dans nos névroses et l'image égotique de nous même sans laquelle nous nous sentirions vulnérables.
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En agissant ainsi, nous espèrons inconsciemment mettre un terme à cette douleur qui nous ronge depuis toujours.
Une telle attitude peut générer un soulagement momentané qui une fois dissipé ne fera qu'accroître l'incompréhension de notre mal être sous lequel bouillonnent colère, tristesse, frustration, culpabilité, rancune, honte, méfiance, jalousie, haine de soi, envie, jugement, blâme ou tout autre ressentiment.
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Ne réalisant pas que l'émotion qui nous fait souffrir n'a rien à voir avec la situation présente, nous rendons responsable les autres, sans imaginer un instant que c’est l’enfant bléssé, qui cherche à exprimer ses besoins pour n’avoir jamais été écouté, ni compris par ses parents.
Nous avons oublié cette partie divine
et extraordinaire qui sommeil
en chacun de nous.
Avec de telles croyances nous vivons dans l'illusion et créons la confusion. Il nous est impossible de trouver le chemin de la sérénité, celui la plénitude et de notre épanouissement, car sans le comprendre nous créons et revivons systématiquement ce que nous redoutons le plus.
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Avec un tel aveuglement, nous nous maintenons dans nos fausses certitudes dont les conséquences sont préjudiciables pour notre santé.
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Nos peurs nous éloignent de l’amour et de la reconnaissance que nous désirons tant. Elle nous coupent des autres et de l'être extraordinaire que nous sommes fondamentalement, de cette partie divine qui sommeille en nous et attend, cette force de vie créative et source de notre bonheur, d’amour pour soi, pour les autres et des plaisirs que nous procure l’exceptionnelle beauté de la vie.
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Naissance de nos blessures
découvrons que nous existons en tant qu’individu et
recherchons naturellement l’amour et la reconnaissance dans la présence et le regard bien veillant d'autrui.
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Quand le petit être reçoit abondamment ce qu'il demande, il éprouve un état de grâce et fait l'expérience de la plénitude, de l'estime de soi et de la confiance en l’autre.
Lorsque nous bénéficions d'une telle qualité relationnelle au cours de notre enfance, nous avons foi en nous même, foi en les autres et foi en la vie.
Face à la Peur.
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Mais notre héritage familial, la relation avec nos parents ou toute autorité, notre éducation et notre culture ne peuvent nous préserver d'expérimenter la peur et la frustration au cours de cette période si sensible.
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À cette phase de la vie, nous n'avons pas la faculté de comprendre et d'interpréter avec justesse ces expériences traumatisantes qui nous amènent à percevoir le monde par le filtre de nos peurs et avec crainte.
Notre état de grâce se transforme alors en blessures profondes.
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Avec ce schéma de pensée et pour survivre dans cet univers inquiétant, l’enfant que nous sommes élabore des mécanismes de défense, des comportements et des stratégies vis à vis d'autrui pour ne plus revivre de telles souffrances.
Nos fausses perceptions
issues de nos peurs sont le terreau
de notre mal être.
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Lorsqu'adulte nous rencontrons une situation de tension qui génère en nous une réaction émotionnelle,
cela signifie que l'évènement présent fait échos instantanément à une situation traumatisante de notre passé.
La similitude de l'évènement réactive la conscience de l'enfant qui sommeille en nous et libère l'énergie de la charge émotionnelle qu'il a ressenti.
Sans même nous en rendre compte, nous revivons physiquement, émotionnellement et mentalement la peur originelle d'enfance refoulée et tant redoutée.
Il peut s'agir de la peur d'exister, la peur d'être abandonné, la peur d'être humilié, la peur d'être trahi et la peur d'être rejeté.
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Mon fils Antoine